Armelle ABSOLU

J’ai eu mon premier appareil photographique, je n’avais pas 11 ans : un Agfa Silette 1. J’ai conservé cet appareil pendant des années, ma production d’images ne dépassant pas 3 pellicules par an, peut-être 5 les années les plus prolifiques!

Mon intérêt pour une photographie allant au-delà du témoignage familial, ou du bon souvenir de vacances, n’est apparu qu’en 1978, année où je me mis à fréquenter un club photo.

A partir de 1995, j’ai commencé à faire des images numériques : prises de vues classiques, en argentique, puis traitement de l’image via l’informatique. Depuis 2004, de la prise de vues au résultat final, j’ai complètement “plongé dans le numérique”.

Ce qui m’attire dans une photographie, c’est dans l’ordre : la composition, le graphisme, l’harmonie des couleurs. D’ailleurs, le terme de photographie est impropre, car ce que je recherche n’est pas un témoignage, le reflet d’une réalité, mais, une impression ressentie, une image. Les sujets que j’aime traiter sont : les natures mortes, les scènes de rue, et plus récemment, grâce à une dynamique apportée au club par quelques “mordus” : les portraits en studio.

Jean-Michel BLIN

Né à Paris en 1948, j’ai effectué mes premier pas de photographe en laboratoire N.B. pour le compte de l’agence de presse ” SLOGAN “, agence travaillant pour les revues “Salut les Copains, Rock & Folk… “. De nombreux voyages à travers le monde m’ont conduit à appréhender les techniques de prises de vues, dans les conditions les plus variées. Un passage de quelques années en tant que pigiste à la République du Centre a complété ma formation.

Au fil du temps, j’ai élaboré, à titre professionnel ou privé, de nombreux clichés sur l’évolution du paysage Orléanais (travaux d’aménagement Place d’Arc, abords de la médiathèque, tournage du film Canicule, passage du Paris Dakar, visite du Président Mitterrand, festival de Jazz…). Plus quelques projets en cours.

Publication dans des revues municipales,(Orléans Mag, Trait d’Union, Regards…) dans la revue Belge “Voyages-Voyages”, la revue Suisse “Toi et les Missions”. Participation avec diaporama photos au spectacle : Le Voyage de Valentine. Appareils NIKON : tous types du Nikkormat au F5 puis, passage au numérique oblige, D2H et D700, puis D3 avec une gamme d’optique professionnelle Nikon, allant du 20 au 400 mm. Je recherche en permanence de nouveaux modèles.

Site Internet : http://nikonman45.fr

Guy TAILLE

Guy a 70 ans. Il est autodidacte et depuis de nombreuses années au PCCO. Sa prédilection : Nature, photo animalière, photo de voyage. Matériel : Reflex numérique Canon 20D.

Christian SEZNEC

1992 a été l’année de ma première adhésion au Photo Ciné Club Orléanais, attiré par le labo Noir & Blanc.

Après quelques voyages touristiques, il s’est avéré que mon sujet de prédilection était l’élément humain. Quelques années en tant que correspondant photographe de sport au journal la République du Centre, m’ont permis de découvrir un autre univers de la prise de vue.

J’ai monté une exposition ayant pour sujet “le festival de jazz”, et reçu un prix d’auteur régional sur le même thème. Aujourd’hui je me suis converti au numérique, et les prises de vues en studio sont ma principale activité dans le domaine de la photo.

Matériel :

Agrandisseur : DURST, ROHEN. Appareil photo : NIKON 801, F90, F100, D70. Objectif : NIKON 80-200 / 2.8, 60 macro / 2.8, 24-50 / 3.3-4.5, 18-70 / 3.3-4.5, ANGENIEUX 28-70 / 2.6. Flash : SB24 Imprimante : EPSON STYLUS PHOTO 1290.

Patrick JOLIVAT

Né en 1951, je débute la photo à 13 ans avec un Instamatic. Puis, ce sont des expériences avec sténopés et émulsions artisanales, et je passe à un Zenith E d’occasion.

Après un passage en école universitaire d’ingénieur et l’entrée dans la vie active, je suis des études ‘plaisir’ en arts plastiques et études cinématographiques à Paris VII (dont obtention d’UV en photo et en reportage), puis des cours à l’IAV d’Orléans. Entre temps, j’ai acquis un minolta SRT101 qui m’a suivi fidèlement pendant plus de 20 ans, avant de passer à du matériel plus moderne puis au numérique. A vrai dire, je n’aime pas parler de l’outillage, pensant que si l’on a des idées, on peut les exprimer avec assez peu de matériel. C’est surtout le talent qu’il faut cultiver.

Pendant une longue période, j’ai délaissé mon labo NetB pour pratiquer le reportage avec mon minolta dans une main, et dans l’autre, un pinceau, un saxo, un piolet et toujours un sac à dos.

Maintenant la photo prend le dessus. J’aime traduire la beauté de la nature, des choses et des êtres sans les dénaturer (beauté dans le sens large du terme). Ma démarche actuelle est aussi de combiner la photo avec d’autres techniques d’arts plastiques, dans le cadre de recherches en surréalisme, abstraction et graphisme.

Claude INGRAIN

Je suis tombé dans le révélateur tout jeune, mon père étant photographe professionnel. Mon premier appareil photographique était un Folding 6X9.

Ensuite, j’ai repris le matériel de mon père, dont son Rolleiflex, avec lequel j’ai beaucoup appris. Etant donné l’expérience que j’avais acquis tout jeune, je me suis vite tourné vers les effets spéciaux en noir et blanc, avec une prédilection pour le paysage et les scènes de rue.

Après des années de labo aussi bien couleur que noir et blanc, je suis passé en 1994 au traitement numérique d’après des négatifs argentiques. Depuis 2004, de la prise de vue au résultat final, j’ai complètement “plongé dans le numérique”.

Ce qui m’attire dans une photographie, c’est avant tout une émotion, qu’elle soit technique ou artistique. Le graphisme aussi m’attire. J’aime tous les sujets avec une prédilection pour l’instantané que notre environnement peut nous réserver.